Meghan et HarryLe «bébé royal» sera-t-il une petite Diana rousse?
De nombreux paris ont cours au Royaume-Uni sur l'enfant de Harry et Meghan, qui devrait naître dans les prochaines semaines ou les prochains jours.

Le bébé à venir dans la famille royale fait l'objet de spéculations et de paris.
AFP/Daniel Leal-OlivasLe Royaume-Uni attend avec impatience la venue du bébé du prince Harry et son épouse Meghan, dont le sexe, le prénom et même la couleur de cheveux font grimper les paris. La question du sexe ne semble même plus en être une pour les joueurs. Les personnes ayant parié sur une fille sont si nombreuses que le bookmaker William Hill a abaissé sa cote à 2/5, ce qui revient à gagner seulement 2 livres pour une mise de 5.
Mais malgré cette chute, les joueurs ont continué à miser sur l'option d'une petite fille. Pour de nombreux parieurs, l'enfant, qui prendra la septième place dans l'ordre de succession au trône britannique, aura les cheveux roux, avec une cote de 3/1. Côté prénom, celui de la mère du prince Harry, Diana, «est le grand favori» avec 60% des paris, indique Rupert Adams. Chez le bookmaker Paddy Power, le prénom Diana arrive aussi en tête avec une cote de 3/1, puis Grace avec 7/1, Alice (10/1), Isabella (12/1), Alexandrina et Victoria (14/1), ou encore Elizabeth (20/1). La cote du prénom Theresa, portée par l'actuelle Première ministre, est de 250/1.
Qui sera parrain?
Si c'est un garçon, Arthur, Charles, James et Edward figurent en tête, alors que Buddha, Jesus ou Donald sont jugés plus qu'improbables. Quelle crédibilité apporter à ces paris? Pour chaque naissance des enfants du prince William et de sa femme Kate, «le prénom favori au moment de la clôture de nos paris a été le bon», affirme Rupert Adams. Concernant le lieu et la date de la naissance, les parieurs semblent persuadés que l'enfant naîtra au début du mois de mai, à domicile, dans le nid douillet du Frogmore Cottage, dans l'enceinte du château de Windsor.
Des paris portent aussi sur les futurs parrains de ce bébé royal né d'une mère américaine: les Clooney? les Beckham? Serena Williams? Elton John? Oprah Winfrey? Les joueurs ont, en général, misé quatre livres (4,65 euros). Selon Rupert Adams, cela revient à un montant de près de 5 millions de livres (5,8 millions d'euros) pour le marché britannique des paris dans son ensemble.
(L'essentiel/afp)