«J’ai eu peur, Inès Reg et son équipe m’ont intimidée»

«J’ai vu ses stories, j’ai été extrêmement blessée, choquée, parce qu’elle prétend être une victime en omettant tout un pan de l’histoire»: Natasha St-Pier pensait que le dossier de son altercation avec l'humoriste était enfin refermé, mais les confessions d’Inès Reg face caméra sur Instagram l’ont poussée à réagir dans la foulée. «J’ai le sentiment qu’elle insinue que je serais raciste, ce qui ne correspond pas du tout à mes valeurs». La chanteuse canadienne a donc décidé, elle aussi, de donner sa version des faits sur les réseaux sociaux, même si «cette histoire aurait dû rester en famille».

Elle reconnaît les piques de son danseur, Anthony Colette, à Inès Reg, elle admet aussi l’avoir traitée de «petite salope» mais, indique-t-elle «pour faire une séquence drôle», «pour faire un running-gag», en référence à la même insulte prononcée par Valérie Trierweiler à l’adresse de l’humoriste dans «Pékin Express».

La Canadienne a mis du temps à comprendre que sa concurrente ne rigolait pas. «Je suis catastrophée». Elle tente alors d’aller s’expliquer et de s’excuser mais «elle est dans une furie impressionnante, elle crie, elle nous invective (…) Anthony se prend un tel torrent d’insultes que je lui dis ''parle pas'' (…) parce que depuis le début, il est impeccable et que je veux que ça reste comme ça». La comédienne continue de vociférer: «Elle lui dit qu’elle va l’encul**, le niqu**, que c’est pas fini (..) Elle va lui dire de façon très violente: ''Qu’est-ce que tu vas faire?''. Elle s’avance devant lui, elle a une attitude menaçante puis elle ajoute ''t’inquiète pas, c'est pas fini''».

«Je suis sous le choc devant tant de violence, confie l’interprète de «Mourir demain». Je fonds en larmes». Elle accepte de faire un message d’excuse «avec sincérité» et propose d’être sanctionnée. Quelques jours après, elle propose de recroiser de nouveau Inès Reg en répétition, «mais on me dit qu’elle était trop en colère, que je dois éviter de la croiser et que je ne dois pas lui parler».

«La savoir dans cet état-là (…) après avoir vu l’état dans lequel elle était capable de se mettre, j’ai peur, je décide de déposer une main courante», tout comme Anthony Colette «qui s’est senti menacé». Elle explique à l’humoriste qu’elle a eu «peur, qu'elle et son équipe m’ont intimidée». Elle dément toute forme de racisme. Peu de temps après, elle pense que tout est «réglé». Jusqu’aux stories de lundi matin…

La Canadienne conclut avec un seul espoir: «Je souhaite que tout s’apaise parce que c’est une belle émission, ce sont de très belles équipes (…) Repartons de zéro et allons danser».