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Piégé par son empreinte ADN
Robert Greiner, jugé devant la cour d’assises du Gard pour le viol et le meurtre d’une lycéenne de 16 ans en 1987, a continué de rejeter hier toute implication dans ces crimes mais a reconnu pour la première fois que les traces d’ADN qui l’ont confondu lui appartenaient.
L’ancien pompier de 55 ans s’était arc-bouté sur son affirmation d'innocence, en dépit de la concordance de son empreinte génétique avec l’ADN identifié dans le sperme retrouvé sur le cadavre de la victime.