Un «effet Carla» pour sauver Nicolas Sarkozy

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Un «effet Carla» pour sauver Nicolas Sarkozy

Pour redresser sa cote de popularité, Sarkozy compte sur
sa femme, Carla Bruni.

En trois mois passés à l’Élysée, l’ex-mannequin à la réputation de femme fatale Carla Bruni a su endosser le rôle contraignant de première dame de France.

Alors que le chef de l’État français, élu haut la main en mai 2007, termine sa première année au pouvoir avec un record d’impopularité - seuls 32 % des Français lui accordant leur confiance - l’ex-top-modèle de 40 ans semble avoir les faveurs du public dans son nouveau rôle.

La presse l’épargne et des commentateurs voient en elle l’inspiratrice du style plus sobre de Nicolas Sarkozy, voué à faire oublier l’image d’un président «bling-bling». Il est encore trop tôt pour jauger l’influence de Carla Bruni, femme de gauche et héritière bien élevée d’une riche famille italienne, sur Nicolas Sarkozy. Mais sa discrétion et l’application qu'elle met à s’acquitter de ses obligations poussent certains à évoquer un possible «effet Carla» au Palais de l’Élysée.

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